Source : Fashion Network, 14/02/2024.
La marque de prêt-à-porter mixte Burton of London mise en liquidation judiciaire par le Tribunal de Commerce de Paris, 200 personnes licenciées
Lors de sa cession en 2020 par le groupe Omnium pour un euro symbolique, Burton of London comptait 658 employés et 122 points de vente dans l’Hexagone.
Source : Fashion Network, 7/02/2024.
La marque de lingerie Lou en redressement judiciaire
Le groupe de lingerie Lacelier (Lou, Bestform et Variance), en redressement judiciaire, cherche des repreneurs.
Source : Fashion Network, 5/02/2024.
Le groupe IKKS projette la suppression de 202 postes et de 77 points de vente
Dans un contexte de marché traversant « une période de turbulences sans précédent », le groupe de mode français IKKS, chapeautant les marques IKKS, One Step et I.Code a présenté le 5 février aux représentants des salariés un projet de plan social portant sur la suppression de 202 postes en France (au maximum), où il emploie 1.328 personnes.
Dans un communiqué, le groupe IKKS dit pâtir des conséquences de la crise sanitaire, de la guerre en Ukraine (où des unités de production étaient implantées) et de l’inflation.
Source : Fashion Network, 2/02/2024.
Burton of London menacé de liquidation
L’empire de l’homme d’affaires Thierry le Guénic continue de s’effondrer. Sa marque de prêt-à-porter Burton of London est actuellement en redressement judiciaire, menacée de liquidation.
La chaîne de lingerie Orcanta a été liquidée à la rentrée 2023, tandis que l’enseigne de décoration Habitat a subi le même sort fin décembre. Début janvier 2024, c’est la marque de lingerie Maison Lejaby qui a été placée en redressement judiciaire. Thierry le Guénic détient aussi les marques Paule Ka ou encore Cosmoparis.
Le secteur du prêt-à-porter en France est secoué depuis plusieurs mois par une violente crise. Camaïeu, Kookaï, Naf Naf, Gap France, André, San Marina, Kaporal, Don’t Call Me Jennyfer, Du Pareil au Même et Sergent Major… Ces marques bien connues des consommateurs français ont souffert de facteurs cumulés : pandémie [gestion de la « pandémie » ndlr], hausse des coûts de l’énergie, des matières premières, des loyers et des salaires ou encore concurrence de la seconde main et de la fast fashion.